A la révolution, le château de Cognac devint Bien National, puis en 1796 le Baron OTARD alors maire de Cognac et député de la Charente l’acquit pour y élever ses eaux de vie. Sous Henri IV une surproduction vinicole conduit à la création d’un « vin brûlé » subissant une double distillation et devenant par la suite « eau de vie » qui sera appelée plus tard « COGNAC » ou « liqueur des dieux ». | ||||
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